mercredi 8 août 2012

Conférence lieux-dits 27 octobre 2012

27 octobre 2012 (20h) Salle Saint-Roch à Les Bulles (Chiny)

 "Nos lieux-dits, ou comment relire notre environnement et notre passé" par Jean GERMAIN

Les noms de lieux ont ceci de fascinant qu'on ne les comprend pas ou qu'on ne les comprend plus guère. Ils ont été dits pourtant par nos aïeux qui ne les ont pas utilisés par hasard, ou si peu...

Derrière ces mots parfois énigmatiques, se cachent de l’eau et des ruisseaux, des cailloux, des vallons et des coteaux, des terres cultivables ou en jachère, des arbres, des plantes et des espèces forestières, des animaux domestiques ou sauvages, le travail des hommes enfin. Tout cela, pas uniquement dans les noms de communes ou de hameaux qui sont beaucoup plus anciens et plus difficiles à expliquer, mais surtout dans le foisonnement de lieux-dits plus modestes qui disent la terre et la nature, et surtout sa prise de possession par l'homme, par le défrichement.

 Ces lieux-dits, ces "micro-toponymes", qui scandent nos noms de rues de temps à autre, qui égaient abondamment les cartes d'état-major, qui humanisent le cadastre parfois, qui émerveillent notre imaginaire toujours, nous allons aller à leur rencontre avec une présentation Power Point, en tâchant de percer leur secret, mais en veillant à ne pas briser leur pouvoir évocateur. Des exemples seront puisés dans la toponymie de la région gaumaise mais aussi du reste de la Wallonie.

samedi 16 juin 2012

« L'espionnage en Belgique occupée et ses ramifications gaumaises - 1914-1918 »

Samedi 16 juin 2012 (20h) - Salle Saint-Roch à Les Bulles (Chiny)
Conférence d'Emmanuel Debruyne "L'espionnage en Belgique occupée et ses ramifications gaumaises - 1914-1918 »

Durant les quatre années de la Grande Guerre, La Belgique subit les rigueurs de l’occupation allemande. Toutefois plusieurs milliers de citoyens belges vont profiter de cette situation pour espionner les arrières de l’ennemi au profit des armées alliées ou s'adonner à d'autres activités secrètes, telles que la presse clandestine ou l'aide à l'évasion. Malgré les arrestations opérées par les polices secrètes allemandes et les exécutions destinées à décourager de nouvelles initiatives, des dizaines de réseaux se développent sur le territoire belge.
Cette « résistance avant la lettre » essaime aussi dans le sud de la Belgique. La Dame blanche, le plus grand réseau de la Première Guerre mondiale, disposera notamment d'agents en terre gaumaise.

Cette conférence coïncidera avec la sortie des prochains Cahiers Brunehaut.
Pour recevoir cette revue et être informé de nos activités, merci de verser 10 euros, 12 pour l’étranger, sur le compte du Cercle (attention nouvelles coordonnées !), en mentionnant vos coordonnées en communication.
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